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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 10:38

Petit billet de rattrappage pour évoquer notre visite, le samedi 3 septembre de l'an dernier à la Petite Cour, restaurant situé à Huy.

 

tour du monde culinaire,Huy,Sri Lanka

 

Nous avions choisi de retrouver ce jour la Cédric, notre ami, autour d'une bonne table. Et dans notre quête d'endroits proposants des types de cuisines différentes, j'étais tombé sur le concept tout a fait original de ce restaurant, en fait une table d'hôtes associée à une boutique d'épicerie fine, qui propose tout au long de l'année un tour du monde culinaire en une quinzaine d'étapes. Etaient ainsi successivement proposés en 2011 les menus australiens, marocain, thaïlandais, argentin & chilien, indien, chinois, guadeloupéen, japonais, grec, créole, mexicain, mauricien, sri lankais, méditerranéen, malgache, cambodgien & vietnamien et pour terminer savoyard.

 

Nous aurions bien gouté à la cuisine australienne, argentino-chilienne ou guadeloupéenne si nous avions découvert le concept plus tôt. Et pour ce qui est des étapes restantes, nous étions également tentés par un petit tour du côté de l'île Maurice ou de Madagascar mais la aussi, ce ne fut pas possible car les dates n'arrangeaient pas notre ami. C'est donc finalement la cuisine sri lankaise que nous avons choisi de découvrir.

 

Le jour J, nous avons fait le choix d'arriver beaucoup plus tôt que l'heure du rendez-vous pour nous permettre de découvrir la ville de Huy qu'il me tentait de visiter depuis le temps que nous y passons tout près lors de nos visites bimensuelles à Liège. Nous ne sommes finalement arrivé qu'environ 1h avant le rendez-vous du fait que j'avais choisi de travailler dans le jardin en début d'après-midi et que cela m'avait pris beaucoup plus de temps que prévu. Heureusement d'ailleurs car si nous avons trouvé Huy très joli, nous avons surtout trouvé cette ville très petite au point que même 1h était de trop pour la découverte.

 

Pour passer le temps en attendant que notre ami arrive, nous avons ainsi pris un verre sur la grand place avant de prendre la direction de la Petite Cour qui tient sont nom du fait que ce restaurant dispose ... d'une petite cour ou nous avons d'ailleurs été installés.

 

tour du monde culinaire,Huy,Sri Lanka

 

Un an après, je ne peux plus être très précis sur les plats que nous avons dégustés - il faudra se contenter des quelques photos ci-dessus -. Par contre, je ne peux oublier que si tout était très bon, les rations étaient beaucoup trop petites au point de m'amener à quitter la table en ayant aussi faim qu'en y arrivant quelques heures plus tôt. Car le deuxième point négatif que nous avons relevé était la lenteur du service - diable, 3 heures pour servir un apéritif, une entrée, un plat et un dessert - sans que ce soit justifié. D'une part parce qu'il n'y avait pas tant de convives que cela tandis que d'autre part, tout le monde consommait le même menu unique ce qui devait grandement faciliter le travail en cuisine. Lenteur qui s'est d'ailleurs prolongée  jusqu'à l'obtention de l'addition que nous avons longtemps attendue et que nous finirons par payer directement au comptoir, lassé d'attendre que quelqu'un vienne encaisser.

 

Le sentiment général au sortir était un sentiment de déception qui fait que nous ne regouterons hélas pas à ce concept pourtant ô combien original.

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13 août 2012 1 13 /08 /août /2012 21:34

Au début de l'été, le fameux restaurant bruxellois de moules et de plats typiquement belges Chez Léon proposait sur son site internet et via sa newsletters des bons de réduction de 10 euros valable jusque la mi-août sur son "Complet Léon". Un menu composé d'une tomate farcie aux crevettes grises, de moules au choix avec frites et d'une bière Léon. Le tout pour 32,30 euros.

 

Chez Léon,Bruxelles,moule,vol au vent,poule au riz

 

C'est ainsi que ce ce mercredi 8 août, nous avons pris la direction de Bruxelles. Arrivé sur place, nous n'avons eu aucune peine à trouver une place de parking pas trop éloignée, j'imagine que cela tient au fait que nous étions en période de vacance. Nous nous sommes ainsi rendu vers la rue des bouchers en passant par quelques endroits connus. Tout près du restaurant éthiopien Kokob ou nous avons passé fin de l'année dernière (article de rattrapage à suivre donc) une excellente soirée avec des amis rencontrés lors de nos vacances en Egypte. Devant le Manneken Pis. Sur la Grand-Place.

 

Chez Léon,Bruxelles,moule,vol au vent,poule au riz

Maud a donc choisi le Complet Léon avec comme plat les moules poulette (vin blanc, crème, champignons, ciboulette). Moi j'ai choisi en entrée la soupe de poisson avec sa rouille, ses croutons et son fromage rapé. Pour suivre, après avoir hésité avec l'américain préparé, mon choix s'est porté sur le tout aussi typiquement belge vol au vent frites. Quant à Kristen, elle avait droit au menu enfant gratuit, ce qui est toujours intéressant, composé au choix d'une omelette frites, de spaghetti bolognaise, de moules frites ou d'un quart de poulet frites. C'est ce dernier plat qu'elle a choisi. Le tout accompagné d'un frisko en dessert.

 

Maud s'est régalée et n'a rien eu à redire sur ses 2 plats. De même en ce qui concerne Kristen dont le plat était accompagné d'une compote de pommes et qui a pu tremper ses frites dans la mayonnaise que nous avons demandé en supplément sans qu'elle ne soit finalement comptabilisée sur la note.
Quant à moi, après la soupe de poisson, bonne, sans plus car elle ressemblait plus à un bouillon qu'à un velouté (d'un autre côté, pour 8,95 euros, c'est un peu logique de ne pas avoir une bouillabaise) accompagnée de son excellente rouille et de ses croutons parfaitement réalisés, il n'y a rien à faire, en ce qui concerne le vol au vent, je suis resté sur ma faim. Non pas qu'il était mauvais, que du contraire, avec sa petite sauce au fromage en guise d'originalité, et ce même si j'aurai aimé un peu moins de morceaux de gros champignons, pour faire du volume, et un peu plus de poulet. Mais tout comme celui consommé récemment au Lunch Garden, il n'a rien à voir avec celui préparé maison. Celui qui me fait envie depuis plus d'un an, avec ses petits cornichons découpés en tranche et surtout ses mini boulettes de viande cuites au bouillon. Ce qu'on appelle chez moi la poule au riz.

 

A l'issue de ce repas, de nouveau pas de dessert pour la bonne et simple raison que nous sommes au régime dans l'optique de perdre les kilos que nous prendrons en vacance et que nous avions déjà largement abusé, de rouille et de frites en ce qui me concerne.

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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 16:28

Régulièrement, nous aimons aller passer une journée à la mer. Et que ce soit à Coxyde ou à Blankenberge, nous transitons toujours par Nieuport pour aller faire le plein de poissons frais à un prix plus qu'intéressant.

 

Ce fut encore le cas ce samedi 19 août 2011 ou après avoir "dévalisé" notre poissonnerie habituelle de Nieuport nous avons pris la route de Coxyde. Je ne consacrerais pas d'article spécifique à cette journée car elle ressemble évidemment à toutes celles que nous avons déja passé à la mer avec les classiques promenade sur la digue et dans les rues commerçantes, les achats de produits de bouche, la dégustation de glaces et le passage au restaurant.

 

Cette fois, vu que la Mouscronnoise est désormais hors-jeu, nous avons hésité entre le Resto Real et le Mozart ou nous n'étions plus allé depuis très longtemps. Au moins 3 ans puisque je n'en ai pas encore parlé dans ce blog. Le plat du jour me tentant et Maud n'étant pas contre, c'est au Resto Real que nous sommes allé.
Par la suite, Maud m'a avoué qu'elle aurait préféré aller au Mozart mais qu'elle avait accepté pour me faire plaisir. Incorrigible Maud. Heureusement, depuis lors et comme je l'ai déjà relaté, elle a eu l'occasion de retrouver le Mozart.

 

Nieuport,Coxyde,Resto Real,Le Mozart

Après le potage, proposé avec le plat du jour, j'ai mangé avec plaisir une banale brochette de poisson frit, comme à la friture. Maud a choisi les anguilles au vert tandis que Kristen se régalait avec un américain frites.

 

Lors d'une prochaine journée à la mer, lorsque nous serons à la recherche d'un restaurant, que le Mozart, qui reste notre premier choix, est fermé et que nous ne trouvons rien de plus original, nous savons désormais que nous pouvons faire confiance au Resto Real car il propose une cuisine simple mais de qualité.

 

A noter que, comme à notre habitude lorsque nous sommes à la mer, nous n'avons pas pris de dessert, préférant prendre une glace ailleurs ... (à suivre).

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1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 15:43

C'est donc devenu une tradition pour ma femme et moi de profiter de l'absence de notre fille pour nous offrir un restaurant en amoureux. Et lors de cette première, c'est au restaurant La Planche que nous ne connaissions que de nom, que nous avons choisi d'aller.

 

En consultant sa carte sur internet, chose qu'il n'est apparamment plus possible de faire maintenant, le site ne divulguant plus que quelques suggestions, je l'avais trouvée un peu chère, ce que confirment d'ailleurs une partie des commentaires postés sur resto.be (voir ici) avec par exemple un filet pur aux poivres concassés, flambé au cognac sur un lit de champignons à la pointe d'ail à 28 euros. Mais j'avais également constaté qu'il y avait quelques plats proposés à un tarif plus abordable.

 

la planche,coucou de malines

 

Une fois n'est pas coutume, nous n'avons pas sacrifié à l'habitude de prendre chacun des plats différents pour pouvoir multiplier les découvertes. C'est ainsi qu'en entrée nous avons tous les 2 choisi la salade folle "La Planche" composée de foie gras, saumon fumé et pignons de pin assaisonnée d'une vinaigrette à la ciboulette.

 

la planche,coucou de malines

 

Pour suivre, nous avons pris la pièce de boeuf proposée avec son accompagnement (frites maison, pommes de terre au four, croquettes, gratin dauphinois ou pommes vapeur au choix, comme pour toutes les grillades) au prix de 16 euros. Un montant raisonnable donc. D'autant que la viande était d'une belle tendreté et qu'avec le gratin dauphinois, accompagnement que nous avions choisi, ce plat était particulièrement copieux au point que je n'ai pas pu terminer mon assiette, alors que je n'aime pas gaspiller lorsque je suis au restaurant. Il faut dire, pour être complet, que la pièce de viande faisait 300 grammes et qu'en sus j'avais commandé un plat de gratin de légumes car cela me tentait beaucoup.

 

Et comme pour laisser le moins possible de gratin dauphinois et de légumes - j'avais évidemment terminé ma viande tellement elle était bonne - je me suis mis en mode gourmandise, une fois le dessert venu, je n'avais plus la moindre place à lui consacrer, fait exceptionnel pour moi lorsque je suis au restaurant.

 

A noter qu'à côté des commentaires critiquant les prix un peu trop élevés proposés par cet établissement, j'en ai également lu d'autres qui critiquaient sévèrement le service. Nous n'avons personnellement pas eu à nous en plaindre, que ce soit du personnel ou d'une quelconque lenteur. Et ce, même si je dois signaler que nous étions un mardi soir en période de vacances et qu'il n'y avait donc pas énormément de clients.

 

Le cadre très agréable, le personnel sympathique et la qualité/quantité des plats servis font de ce restaurant un endroit à retenir. Endroit que j'ai d'ailleurs fait découvrir à mes collègues un peu plus de 2 mois plus tard et qui fera l'objet d'un article rétro concernant le mois d'octobre 2011.

 

Pour terminer, une petit anecdote sur l'un des serveurs qui en nous proposant les suggestions du moment nous à parlé d'une terrine de coucou. Alors que je lui demandais s'il s'agissait d'une terrine de volaille, il m'a répondu que non, qu'il s'agissait d'une terrine de lapin. Je lui demandais alors s'il s'agissait bien du coucou de Malines ce qu'il m'a confirmé ... en insistant sur le fait qu'il s'agissait donc bien d'une terrine de lapin ! Sur de mon coup, je n'ai pas insisté mais avec ma femme, cela nous a beaucoup amusé de sa lacune. Mais comme je l'ai dit, il était charmant et attentionné et son erreur, même si pas normale d'un point de vue professionnel, ne portait pas à conséquence.

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 21:19

Une fois au Chemin du Cèdre, le restaurant libanais qu'avait donc choisi de nous faire découvrir nos amis, nous n'avons pas pu découvrir l'élégant cadre intérieur car nous avons eu la chance de pouvoir prendre notre repas dans le jardin. Même si, en fin de soirée, la fraicheur tombant, nous aurions bien apprécié prendre le dessert et le thé à l'intérieur.

 

En guise d'apéritif, j'ai fait le choix d'une boisson libanaise dont j'ai oublié le nom qui ressemble au pineau des Charentes mais en beaucoup plus sucré. Ecoeurant pour certains, comme Maud ou Gabriel, excellent pour moi. Avec un premier couac au niveau du service puisqu'on ne nous a rien proposé alors que les tables environnantes avaient quelque chose. Après une remarque de Mathieu, nous avons finalement reçu des amandes dans un plat raffraichi par des glaçons. Surprenant.

 

Pour suivre, nous étions tous partis pour prendre le menu découverte à 28 euros, estimant que la différence de 10 euros avec le menu prestige qui comportait quelques plats supplémentaires ne se justifiait pas. Mais Mathieu, qui tout comme Gabriel avait déjà expérimenté le premier lors de leur précédente visite, avait envie de découvrir les plats supplémentaires et plus particulièrement la brochette d'agneau que, contrairement à Gabriel ou moi, il adore. En y regardant de plus près, je constatais tout de même que si la différence de prix ne se justifiait ni au niveau du plat principal, une brochette d'agneau en sus, ni au niveau des entrées chaudes, avec un seul plat bonus, le makanek (petites saucisses d'agneau au poivre flambées au citron), elle permettait, au niveau des entrées froides, de découvrir pas moins de 4 plats supplémentaires. dont le samake harra (filet de poisson, émincé d'oignons, poivrons, ail, citron et crème de sésame).
Et comme Maud adore également l'agneau, j'ai finalement fait le choix de me ralier au choix de Mathieu car chacun des menus n'est servi que pour minimum 2 couverts.

 

Nous avons donc finalement commandé 2 menus découvertes et 2 prestiges ainsi qu'une assiette de brochette de poulet pour notre fille Kristen. Et ce même si je trouvais un peu frustrant de ne gouter, en plat principal, qu'à de simples brochettes la ou la carte proposait des plats autrement plus élaborés. Mais au vu du grand nombre d'entrées froides et chaudes proposées, dont certaines que nous ne connaissions pas, je me suis dit que cela faisait déjà une belle découverte.

 

Chemin du Cèdre,restaurant,libanais,makanek,samake harra,houmous,moutabale,changlich,patata harra,moujadara,kebbé,fatayer,falafel,la Khaïma

Ainsi, à côté des traditionnels taboulé, houmous (purée de pois chiches) et feuilles de vigne, nous avons également découvert en entrée froide les loubies (haricots verts à l'huile d'olive, sauce tomate), le seul plat présent uniquement dans le menu découverte, le moutabale (purée d'aubergines grillées avec crème de sésame et citron), le changlich (salade de fromage libanais, tomates ,poivrons, thym, oignons et huile d'olive), la moussaka et le samake harra, autant de plats figurant uniquement dans le menu prestige.

A ce moment nous avons de nouveau eu quelques problèmes avec le service.
Tout d'abord parce que nous avons du demander le pain libanais, que Gabriel et Mathieu savaient, pour être déjà venus, qu'il accompagnait les différents plats.
Ensuite parce que le vin que nous avions choisi n'étant plus disponible, ni en rosé, ni en blanc, nous avons demandé un conseil au serveur qui, ne s'y connaissant pas, nous a indiqué qu'il allait nous envoyer un collègue ... qui n'est arrivé que lorsque nous avons réclamé pour la troisième fois de la soirée.

 

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Au moment de nous servir les entrées froides, le serveur nous avait indiqué que nous recevrions ensemble les entrées chaudes et le plat principal. Nous avions trouvé cela bizarre mais nous avons compris que cela se justifiait pleinement car certaines entrées comme les patata harra (dés de pomme de terre rissolées à la coriandre et citron) ou la moujadara (purée de lentilles, riz, oignons frits) étaient en fait des accompagnements. Outre ces 2 plats et le makanek déjà évoqué, nous avons également pu gouter au kebbé (boulette de pâte de viande et blé concassé frit, farcie à la viande hâchée, oignons et pigons de pin), au borgoule (dont je ne retrouve pas la teneur), aux fatayer (pâtes farcies aux épinards, oignon, citron), aux falafel (purée de pois chiches et de fèves, coriandre, ail, piment servi avec sauce sésame) et aux ailes de poulets (cuisinées au citron) qui accompagnait donc les brochettes de poulet, kebab et agneau servies avec du pain libanais, certains natures, d'autres recouverts d'une sauce à l'ail et à l'harissa très légèrement piquante.

 

Avec les habituels problèmes de service puisque nous avons de nouveau du réclamer. D'une part pour que l'on nous explique la nature des différents plats apportés, chose que le serveur ne savait pas faire, nous envoyant le collègue qui nous avait servi les entrées froides et qui nous avait spontanément donné les explications. D'autre part pour demander le plat de notre fille que le chef avait oublié de préparer.

 

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Par contre, au dessert, rien à redire puisque nous avons tous reçu un chausson contenant une mixture spéciale (au fromage ?), y compris Kristen pour laquelle nous n'avions pas commandé un menu et qui n'y avait théoriquement pas droit.

 

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Enfin, nous avons tous choisi pour conclure le thé à la menthe, également compris dans ce menu, qui nous a été servi à la manière nord-africaine.

 

Par contre, nous n'avons pas eu droit au pousse café offert, qui aurait été bien mérité vu les nombreux problèmes de service. Mais peut-être ont-ils estimés que le dessert offert à notre fille constituait déjà un beau geste ... à moins qu'il n'aie pas voulu faire plaisir à cette table de clients qui n'ont pas arrêtés de les embêter. Ceci dit avec humour bien sur.

 

Ces problèmes de service me font repenser à une autre sortie entre amis, les collègues de ma femme, au restaurant la Khaïma, ou nous avions été confronté au même type de problèmes. Et dont nous avions fini par en rire vu la bonne ambiance dans le groupe. Mais si ce défaut, cumulé à la nourriture, bonne sans plus, m'avait amené à signaler que je n'y retournerais pas, cette fois, la qualité des mets dégustés font que j'oublierais sans problème ces petits tracas pour retourner au Chemin du Cèdre si l'occasion se représente.

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 22:22

Ce samedi, nous avons enfin découvert le restaurant Métisses situé en Outremeuse à Liège dans la rue Roture célèbre pour y abriter de nombreux établissements Horeca. En nous y baladant, nous avons d'ailleurs constaté que nous en avions déjà visités 4, à chaque fois de cuisines différentes (charbonnade, italien, marocain et un excellent indien aujourd'hui fermé), celui-ci devenant donc le 5è.

 

Initialement, Cédric, l'ami qui nous accompagnait, avait proposé de nous faire découvrir le Labo 4, un restaurant particulier qui propose des plats aux mélanges détonnants comme le Daffy burger, un burger de canard mi laqué, dans un petit pain au lait à l’orange, sauce aigre douce maison, salade de choux et gingembre confit ou encore la dorade en beurre de coriandre, blédina de Granny Smith au lait de coco, stoemp parfumé de céleri et Bangkok spring roll. Malheureusement, il était complet.

 

Métisses,Roture,Le Labo 4,pisco sour,thiébaudianne,thé

Dans l'urgence, notre ami a pris l'initiative de réserver une table dans un autre qui l'attirait depuis longtemps, Métisses. Bien lui a pris car nous aussi étions attirés par sa cuisine du monde et son cadre coloré. Seule l'absence du menu sur son site internet, nous empêchant de connaitre par avance les plats proposés, nous retenait. Mais en amateur de découvertes culinaires que nous sommes, nous avons finalement pris le risque.

 

En découvrant la carte, nous avons constaté que les plats proposés étaient d'origine africaine, sud américaine et créole tandis que nous savions déjà depuis longtemps que l'origine du nom du restaurant venait du fait qu'il est tenu par 2 dames, l'une belge, l'autre sénégalaise.

 

N'ayant pas pu faire comme d'habitude, vu l'absence d'information sur internet, une première sélection préalable, le choix fut particulièrement ardu. A commencer par l'apéritif. La carte proposait en effet diverses propositions originales. Je me suis finalement laissé tenter par un pisco sour, cocktail sud américain apparamment originaire du Pérou, Maud choisissant un cocktail dont j'ai oublié le nom à base de rhum, de vanille et d'un troisième ingrédient que j'ai également oublié. Avec, pour accompagner cela, quelques nachos à tremper dans une préparation piquante à base de divers légumes découpés en petits morceaux.

 

Métisses,Roture,Le Labo 4,pisco sour,thiébaudianne,thé

En entrée, j'ai choisi les acras de morue et sa sauce épicée. Epicée voulant dire ici, piquante. Bien, sans plus. Maud a choisi le carpaccio de boeuf au vinaigre de fruits de la passion. Ces 2 plats n'étaient pas très copieux mais ce n'était qu'une entrée. Tout cela pour dire que dans l'attente du plat principal, j'ai craint, vu les 2 ou 3 fois ou cela m'est arrivé récemment, d'une nouvelle fois ne pas manger à ma faim.

 

Métisses,Roture,Le Labo 4,pisco sour,thiébaudianne,thé

J'ai été rassuré en voyant la copieuse assiette de Thiéboudienne, plat national du Sénégal constitué de riz, tomate, carottes, manioc, patates douces et poisson, que j'avais choisi par élimination parmi les 4 qui me tentaient. Même si, dans un premier temps, je n'ai pas beaucoup apprécié pour 2 raisons. D'une part, je ne sais pas s'il s'agissait de mon plat ou de celui que ma femme et Cédric avaient choisi, voire des 2, mais l'odeur n'était pas très agréable. Je dirais même clairement que cela sentait mauvais. D'autre part, nous étions dans une partie du restaurant pas très bien éclairée ce qui ne me permettait pas de bien voir de quoi était constitué mon plat. En fait, je voyais surtout une masse noire, avec du riz, qui ne me paraissait pas appétissante. J'ai donc commencé à manger ce plat, particulièrement bourratif, du bout des lèvres avant de découvrir que les différents éléments le constituant étaient très bons. Maud et Cédric qui s'étaient eux laissés séduire par l'originalité du mélange cacao moutarde présent dans le lapin au cacao et à la moutarde sont également restés un peu sur leur faim, ne trouvant pas trace du cacao dans le gout, seule la moutarde émergeant. A noter que si mon plat était un repas complet vu la présence de riz, Cédric et Maud ont pu choisir un accompagnement parmi l'attiéké (couscous de manioc), l'aloko (bananes plantains), du riz, des patates douces en frites et un gratin d'igname. Maud choisissant le premier, Cédric le dernier.

 

Métisses,Roture,Le Labo 4,pisco sour,thiébaudianne,thé

 

Vu l'étroitesse de la carte des desserts, composée de seulement 3 propositions, le choix a été beaucoup plus simple que pour les autres plats. Entre le duo Métisses, la crème aux fuits de la passion et la tarte tatin à la mangue, nous avons tous les 3 choisis le premier, attirés par sa description particulièrement alléchante: fondant au chocolat noir tiède accompagné d'une mousse chocolat blanc, citron vert et noix de coco. Vu ce long intitulé, nous avons été un peu déçu, à l'arrivée du plat, par son côté dépouillé avec juste 2 petits pots présents sur l'assiette. Mais la déception a été de courte durée car nous avons apprécié la mousse au chocolat blanc et avons été conquis par l'excellent chocolat chaud, pas du tout écoeurant.

 

Nous avions également remarqué que la carte proposait quelques thés que nous ne connaissions pas, raison pour laquelle, à l'issue du repas, Maud a commandé un thé au tamarin à la fleur d'oranger, moi, initialement tenté par celui la, un thé vert aux fruits exotiques avec lequel elle avait également hésité, histoire d'en gouter deux pour le prix d'un et Cédric un thé dont j'ai oublié le nom avec des feuilles d'un arbustes typiquement africain dont il nous dira qu'il lui faisait penser à une infusion au tilleul. Alors que celui de Maud était un excellent thé en sachet, fruité comme je les aime, le mien qui était le seul à infuser dans une boule à thé, n'avait presque pas de gout. Mauvais choix de ma part ? Mauvais dosage de la part de la serveuse ? Toujours est-il que je terminais la soirée sur une nouvelle petite déception.

 

Certes, je suis sorti repu avec la satisfaction d'avoir enfin pu découvrir un restaurant qui nous attirait depuis longtemps. Mais je le situerais malgré tout un cran en dessous de ceux que nous avons fait récemment en raison des petites remarques négatives que j'ai pu faire sur les différents plats.

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 10:54

Ce jeudi 17 mai midi, jour de l'ascension, nous avions décider d'enfin aller manger la fameuse assiette en bois (voir article précédent ici) au restaurant Deliceum à Jolimont. Mais lorsque nous avons voulu réserver une table, nous avons été fort surpris d'apprendre que ce restaurant n'était ouvert que le soir et le dimanche midi et que le fait que ce jeudi soit férié n'y changeait rien. Comme nous nous étions fait à l'idée d'aller au restaurant à ce moment la, je me suis donc connecté sur le site restaurant.be pour en trouver un autre.

 

En recherchant sur Nivelles, la ville la plus proche de notre village, j'ai été assez vite attiré par la formule proposée par un restaurant que je ne connaissais pas, L'Auberge. A savoir un choix de 6 entrées, 6 plats et 7 desserts pour la modique somme de 22,50 euros. Et si, en temps normal, ce restaurant n'ouvre que les vendredi, samedi et dimanche, il est aussi accessible les jours fériés, lui.

assiette en bois,Deliceum,l'Auberge,Arquennes,brasérade,violon

Vous pouvez voir ci-dessus le menu proposé lors de notre visite. A côté de celui-ci, la carte est certes relativement limitée mais cela n'est absolument pas gênant quand on sait que le menu change tous les 15 jours et que les plats présents de manière récurrente sont, pour certains, originaux. A l'image de la brasérade, une pièce de viande de 300 grammes que l'on cuit soi même à table sur un pic suspendu au dessus d'un récipient contenant un gel que l'on fait bruler ou encore du violon, une grande brochette de boeuf flambée à table et présentée verticalement accrochée à un montage de fils de fer représentant un violon, d'ou le nom, la brochette faisant office d'archet.

assiette en bois,Deliceum,l'Auberge,Arquennes,brasérade,violon

A l'arrivée, nous avons été surpris par le cadre beaucoup plus sélect que nous le pensions car en fonction de la photo de l'extérieur du bâtiment, de la mise en page, très ludique, du site internet et des prix pratiqués, nous nous imaginions un restaurant plus bas de gamme, sans que cela soit péjoratif. Nous ne nous attendions pas non plus à déguster des plats aussi raffinés.

assiette en bois,Deliceum,l'Auberge,Arquennes,brasérade,violon

A commencer par l'assiette de dégustation qui accompagnait l'apéritif (nous avons choisi le maison qui était en fait un cocktail). Elle était composée de d'une préparation au surimi, d'un velouté de poireaux et d'un morceaux de cake aux olives. Surimi, poireaux, cake, ce ne sont pas la des produits nobles et nous ne sommes donc certes pas dans la fine cuisine gastronomique mais la qualité des préparations et leur présentation constituaient un plus que nous n'attendions pas.

assiette en bois,Deliceum,l'Auberge,Arquennes,brasérade,violon

En entrée, j'ai choisi, la cassolette de scampis aux poivrons et porto, Maud la trilogie de foie gras, tandis que nous avons commandé les croquettes aux petites grises du Nord pour Kristen.

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Pour suivre, après avoir longtemps hésité avec le violon, j'ai finalement choisi le magret de canard au jambon cru et chèvre, pomme de terre au chèvre en me disant qu'il n'était à la carte que pour une quinzaine tandis que je pourrais toujours prendre le violon lors d'une prochaine visite. Car déjà au moment de passer commande, enchanté par le cadre et l'assiette de dégustation, qui nous avait déjà été servie, l'envie d'y revenir était déjà présente. Maud a elle craqué pour la brasérade accompagnée de 4 sauces originales dont une au poivre vert, tandis que Kristen choisissait le steack tartare junior hâché à la minute et sa sauce relevée.

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Pas de surprise dans les choix de dessert puisque, alors que Kristen choisissait une glace vanille-fraise, Maud se délectait d'une belle assiette de fromages tandis que je me régalais avec le méli-mélo de desserts composé de 4 mini desserts dont une crème brulée et une mousse à la framboise ou aux fruits rouges.

 

Pour conclure, je dirais que nous avons passé un excellent moment (près de 3h sans que nous n'ayons vu le temps passer) dans un très bon restaurant, magnifié par le fait que nous ne pensions pas qu'il était d'une telle qualité.

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 21:05

Et voici le second article rétro sur le mois d'avril 2011 annoncé dans le précédent. Il est d'autant plus important qu'il complète celui dans lequel j'indiquais que la Mouscronnoise ne faisait plus partie de nos 3 restos fétiches historiques (voir ici).

 

Ce 13 avril 2011, nous avons passé une journée classique à la mer: balades sur la digue et dans les rues commerçantes de Coxyde pour y regarder les boutiques, achat de bons  produits de bouche (steacks hachés originaux, poissons, charcuterie, salade) et cornets de crème glacée.

 

Le midi, pour nous restaurer, nous avons fait le choix d'aller à La Mouscronnoise, peut-être pour l'ultime fois, en tous les cas pour la dernière fois avant longtemps.
Nous avons en effet été grandement déçus par les plats qui nous ont été proposés. Pour être tout à fait honnête, je dois indiquer que cela n'était pas pour autant catastrophique, loin de la. Mais notre déception est surtout proportionnelle au grand nombre de fois ou nous avons mangé la en étant plus que satisfait.

 

mer,restaurant,frites

Maud a choisi un filet de plie avec une sauce au beurre qu'elle n'a pas trouvé à son gout.

mer,restaurant,frites

Quant à moi, j'ai choisi l'un de mes 2 plats fétiches de l'endroit en jouant l'alternance. Je veux dire par la que comme la dernière fois, j'avais choisi l'excellent, copieux et tendre steack de boeuf sauce au poivre, j'ai cette fois choisi l'assiette du pêcheur avec une petite déception. Alors que ce plat n'avait pas été modifié depuis que je l'ai découvert, il était cette fois présenté d'une manière qui me plaisait moins.

 

Nous aurions pu mettre le problème de Maud sur le compte d'un accident passager tandis que j'aurais pu continuer à fréquenter ce restaurant en évitant l'assiette du pêcheur si sa nouvelle présentation ne me convenait plus. Mais le fait le plus grave, celui que je ne peux tolérer, en bon belge que je suis, concerne la qualité des frites.
Alors que jusqu'à présent, il proposait d'excellentes frites maison, dignes des meilleures friteries, nous avons cette fois eu droit à des frites surgelées nettement moins appétissantes et agréables dans la bouche.
Tout comme lors de notre visite précédente d'ailleurs. Mais la je n'avais pas relevé.

C'est donc bien cette récidive au niveau de la qualité des frites qui m'a définitivement (?) enlevé l'envie de retourner dans ce restaurant.

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 19:45

Régulièrement, nous allons au restaurant à Liège avec le meilleur ami de Maud qui, comme  nous, aime découvrir de nouveaux type de cuisine et de nouveaux restaurants.

 

tapas,météo,avril

Le jeudi 21 avril 2011, nous avons choisi de découvrir la Perle Blanche, attiré par le concept proposé tous les jeudi soir, un menu composé de tapas. Au choix 4, 6 ou 8 assiettes de dégustation. Cette dernière formule étant la plus avantageuse car proposée avec un apéritif offert.

 

Nous avons bien évidemment choisis cette dernière option et avons ainsi pu déguster:
1. tiramisu de légumes à la citronnelle et au cumin
2. feuille de brick, Saint-Jacques, sauce soja
3. boulettes de pois chiche sauce yoghourt au cumin
4. carpaccio de boeuf, mousse de chou-fleur au citron et huile de truffe
5. brochette de poulet tandoori
6. purée de betterave, scampi à l'huile d'argan, graines de pavot blanc
7. agneau en croute à la coriandre et pistache
8. sushi fraise-melon-mangue, graines de sésame blancs, noirs, wasabi et lait d'amande

 

Nous nous sommes régalés de toutes ces différentes alliances de saveur qui nous ont été proposées. Avec malheureusement un bémol concernant les portions qui étaient vraiment très petites - je sais, c'est le principe des tapas -. A un point tel que même en en ayant mangé 8, j'avais encore relativement faim en quittant le restaurant. Ce qui était également l'avis de Cédric, notre ami et surtout de Maud qui a pourtant un appétit bien moindre que le mien.

Je me demande d'ailleurs comment il est possible de se contenter de la formule à 4 tapas seulement. En tout cas moi, une fois sorti du restaurant, je me suis dirigé vers la friterie la plus proche et me suis offert un paquet de frites tandis que Maud commendait une brochette.

 

A noter, pour illustrer la différence de météo, qu'alors que nous sortons d'un mois d'avril, froid et pluvieux, nous avions l'année dernière fait le choix de manger en terrasse, ne ressentant le besoin de remettre une petite laine qu'en toute fin de soirée.

 

Pour conclure, je dirais que la Perle Blanche est un restaurant proposant de l'excellente cuisine mais hélas pas assez copieux. Tout au moins en ce qui concerne la formule tapas du jeudi soir car n'ayant pas eu l'occasion de tester la carte "normale" de ce restaurant, je ne peux pas porter un jugement définitif ... que je ne porterais probablement jamais car je ne prendrais pas le risque d'être une nouvelle fois déçu.

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 17:28

Samedi 17 mars, nous sommes allés manger au restaurant La Khaïma à Auderghem avec les nouveaux collègues de ma femme. Vu qu'elle a été embauchée fin juillet dernier et que la plupart de ses collègues ont également été engagés en 2011, il s'agissait de la première sortie du genre.
Après avoir tergiversé longtemps, ils ont finalement choisi ce restaurant sur proposition de l'une d'entre eux qui y étaient allée quelques temps plus tôt et qui avait beaucoup apprécié, en particulier le cadre.

 

danse du ventre,crevaison

De fait, lorsqu'on pénètre dans le restaurant, on se retrouve dans une tente berbère.
Dommage que nous nous soyons retrouvés près de l'entrée, dans la partie couloir et non dans la salle principale. D'autant qu'un spectacle de danse du ventre était proposé à 22h.
Mais notre placement s'explique par le fait que nous avons tardé à réserver et que surtout il y avait un mariage qui occupait une grande partie de la salle. En fin de compte, nous pouvons être heureux d'avoir finalement pu obtenir une table, la dernière de libre ce soir la.

 

Pour l'apéritif, bizarrement, alors que nous étions les doyens, les collègues de ma femme étant tous âgés de maximum 35 ans, Maud et moi avons été les seuls à prendre un apéritif alcoolisé. Nous avons bien évidemment choisi le maison appelé tout simplement La Khaïma composé de vodka, cassis et pamplemousse.

 

Pour suivre, alors que je choisissais le menu dénommé la table marocaine qui reprenait tout ce que j'avais envie de manger: le metzé reprenant plusieurs entrées de la carte, à savoir un croustillon de merguez, une briouate de kefta, une pastilla au poulet et une salade marocaine, un couscous poulet, merguez et kefta et une assiette de patisseries marocaines, avec pour terminer un thé à la menthe fraîche, Maud, qui n'était attirée ni par l'assiette d'entrées ni par l'assiette de desserts choisissait de déguster les scampis à l'orientales, un couscous méchoui et un carpaccio d'oranges à la cannelle et à la fleur d'oranger. Kristen, qui nous accompagnait, se régalant avec une assiette de frites et du poulet.

 

danse du ventre,crevaison

 

Au final, nous avons bien mangé, sans plus. Cuisine simple, sans fioriture.
Pour être honnête, je me dois quand même de signaler que comme nous étions 5 à avoir choisi le menu, celui-ci nous a été servi dans de grands plats collectifs, les assiettes illustrées sur les photos étant telles que je me suis servi. Ainsi, le plat, que je n'ai pas eu la présence d'esprit de prendre en photo, qui nous a été présenté pour l'entrée était bien mieux présenté que ce que l'on peut voir sur mon assiette. Il y avait, en particulier, bien plus de crudités.

 

Nous avons par contre été grandement déçu par le service, le serveur ayant apparamment des difficultés à nous comprendre tandis que le patron et le même serveur avaient tendance à oublier certaines de nos demandes. 2 exemples: ils nous a fallu demander à plusieurs reprises une assiette et un verre supplémentaire du fait que nous étions un de plus que signalé à la réservation tandis qu'ils ne nous ont d'abord apporté qu'une seule des glaces commandées pour les 2 enfants présents.

 

Par contre, nous avons quand même eu droit à une petite partie du spectacle puisque la danseuse ne s'est pas contentée de prester dans la salle principale mais est venue faire 2 ou 3 danses dans la partie que nous occupions.

 

Au final, une excellente soirée que tout le monde a envie de reprogrammer, mais plus dans le même restaurant.

 

Excellente soirée qui ne s'est pas terminée sans souci pour autant puisque, peu après avoir pris la route, ma voiture a commencé à faire un bruit bizarre. Je me suis d'abord demandé si je n'avais pas crevé mais comme je ne ressentais aucune perte d'adhérence, j'ai pensé à un problème de pot d'échappement. J'arrivais difficilement à atteindre le 90 km/h et plus on avançait, plus le bruit se faisait fort ainsi que la difficulté de garder une vitesse correcte. Nous étions en effet sur le ring est de Bruxelles à une vitesse de 70 km/h.
Quand j'ai encore décéléré, j'ai décidé de prendre le premier parking ou la première sortie. Hélas, il n'y en avait pas de proche et lorsque je suis descendu à 50 km/h, j'ai bien dû me résoudre à m'arrêter sur le bas côté, dans une ligne droite non éclairée, en pleine forêt de Soignes, ... pour constater que mon pneu arrière gauche dégageait une fumée épaisse et était complètement déchiqueté. Mon impression première était donc finalement la bonne.

 

Vu l'obscurité et le passage à grande vitesse de véhicules, encore nombreux à cette heure avancée (il était pas loin de 1h du matin), il était difficile et même dangereux de remplacer la roue sur place. J'ai donc fait appel à un dépanneur vu que j'ai une assurance pour cela. Arrivé au bout d'une demi heure, il a lui aussi constaté qu'il était trop dangereux de réparer sur place, même en mettant son camion derrière la voiture pour se protéger. Il a donc embarqué la voiture sur son plateau, à la recherche d'un endroit sécurisé pour réparer.

 

Et c'est donc fort fatigué, que nous sommes finalement rentrés à la maison, près d'une heure trente plus tard que prévu.

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